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Le
Maroc souffre depuis plusieurs années déjà du statut de dernier de la
classe en matière d’éducation. Le rapport mondial de suivi de
l’éducation publié par l’UNESCO au début de l’année 2014 établit un
classement qui situe le Maroc à la 143e place sur 164 pays. Une honte
pour un pays qui, depuis l’ère Hassan II, enchaîne les réformes dans ce
domaine et y consacre aujourd’hui encore près de 5,4% de son PNB[1],
soit beaucoup plus que l’Algérie ou la Tunisie qui affichent pourtant
des taux d’alphabétisation supérieurs à celui du Maroc.
Encaissant échec sur échec, le secteur de l’éducation ne parvient visiblement pas à se réformer et l’Etat se perd dans des dépenses vaines et inefficaces en l’absence d’une planification rigoureuse qui devrait être aiguillée par des experts. L’éducation est un moteur incontournable du développement, c’est le critère par lequel on juge de la grandeur d’une nation et le miroir de la société à une époque donnée.
Encaissant échec sur échec, le secteur de l’éducation ne parvient visiblement pas à se réformer et l’Etat se perd dans des dépenses vaines et inefficaces en l’absence d’une planification rigoureuse qui devrait être aiguillée par des experts. L’éducation est un moteur incontournable du développement, c’est le critère par lequel on juge de la grandeur d’une nation et le miroir de la société à une époque donnée.
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